Des limitations qui nous font stagner ou nous ralentissent, et nous empêchent de nous sentir mieux
Ces limitations peuvent nous amener à nous empêcher d’évoluer vers une vie plus épanouissante que celle que nous nous efforçons de maintenir, et finalement, à nous perdre, à ne plus savoir qui l’on est, où l’on va et ce que l’on veut.
J’en ai identifiées 7, ce sont celles qui sont les plus communes et que j’ai moi-même expérimentées.
Les multiples sollicitations de la vie quotidienne, les émotions intenses, le stress, l’anxiété, la fatigue physique, ainsi que certains troubles comme le TDAH et l’hyperactivité, sans oublier les relations toxiques et les défis difficiles, sont autant de facteurs qui nous poussent à entrer en mode pilotage automatique.
Chaque nouvelle saison peut être une occasion de remettre de l’harmonie au coeur de sa vie. Pour cela, rien de tel que de l’inspiration minimaliste pour désencombrer puis ranger son lieu de vie et en même temps, son monde intérieur, en libérant notre mental de la surcharge accumulée par la même occasion.
La relation la plus importante que nous entretenons est celle que nous avons avec nous-même.
Mais les pressions de la société, les attentes des autres, et même nos propres doutes et peurs nous en éloignent .
Plutôt que de nous connecter à nous-même, nous nous tournons vers les autres, vers les possessions matérielles, ou vers des réalisations externes pour nous sentir comblée et appréciée.
Pourtant, notre personnalité est l’essence même de qui nous sommes et qui nous permet cette reconnaissance tellement recherchée. Simplement parce que nous sommes nous-même, sans filtre, sans masque, avec une posture d’ouverture face au monde et une confiance en soi, nourrie par notre estime personnelle, notre amour de Soi.
Nos journées sont remplies à ras bord de tâches à accomplir, de rendez-vous à honorer, et de responsabilités à assumer. Nous sommes tellement absorbées par nos routines quotidiennes que nous agissons souvent sans même y penser. C’est comme si nous étions programmées pour avancer d’une tâche à l’autre sans véritablement savoir ce que l‘on fait parfois, ni prendre le temps de respirer.
Quand s‘arrêter nous met à l‘épreuve du vide intérieur
Ralentir, faire une pause, s‘arrêter, peut créer chez beaucoup d‘entres-nous une anxiété profonde. Nous sommes constamment prises dans le tourbillon frénétique de la vie quotidienne, entraînées dans une course effrénée d’activités et d’obligations. S‘arrêter n‘est parfois même pas une option.
Poursuivre un idéal contraire à son épanouissement.
Une vie de perfection matériel, sociale, familiale, professionnelle, physique, intellectuelle, culturelle.
Ces injonctions, qu’elles soient dictées par notre éducation, notre entourage ou la société, pèsent lourdement sur nous. Elles sont renforcées par la peur du regard des autres, du jugement, et de la dévalorisation de soi.
Mon expérience personnelle m’a emmenée tout droit à l’épuisement mental et physique. Dans une course perpétuelle, complètement agitée et tendue face au temps qui passe, je n’ai jamais su faire de pauses. Pour moi les pauses étaient égales à paraisse, fainéantise, régression. J’étais convaincue qu’elles étaient des entraves à ma progression. Mon état d’esprit était ancré dans l’idée que chaque moment d’arrêt était une occasion manquée, une pause qui m’empêchait d’avancer, de progresser, de terminer quelque chose, de commencer autre chose…
Chacune de nous aspire à améliorer sa vie en adoptant de nouvelles habitudes. Mais il peut être difficile de s’y tenir. Alors comment choisir une nouvelle habitude, comment la maintenir et comment renforcer son ancrage pour soutenir notre motivation personnelle ?
Si tu me suis un peu, tu sais que pour moi, les intentions basées sur notre « pourquoi », avec le sens derrière l’action, sont bien plus puissantes que des résolutions basées sur des raisons qui ne sont pas alignées avec nous-mêmes, mais plutôt influencées par l’extérieur, par le jugement de soi et celui des autres, puis la comparaison qui est si nocive.
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